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Comme pour le premier vol, un Gloster Meteor du Centre d'Essais en Vol accompagne les vols suivants tandis que Concorde 001 engrange les paramètres de ses essais avec ses importantes ressources d'analyse en temps réel et d'enregistrement tandis que le prototype est également suivi par les moyens au sol à la disposition du Service des Essais à Toulouse. Par la suite les vols nécéssitant un accompagnement, notamment pendant une grande quantité de tests variés nécéssaires à l'exploration minutieuse du domaine allant du transsonique à Mach 2 et plus, se feront au côté de Mirage III et aussi, je crois, du Mirage IV du CEV. Les essais furent d'ailleurs assez vite menés par des pilotes de cet établissement comme Jean Franchi et Gilbert Defer mais aussi par des ingénieurs d'essais d'état. N'oublions pas Jean Pinet, associé dès le début aux études de Concorde, qui après Turcat et Guignard avait été le 3ème pilote d'essais Aerospatiale de Concorde.
